Sujet: Heinrich Eichmmann (VALIDE) Mer 7 Mar 2018 - 19:30
"(la mort) Pourquoi est-ce qu'on me déteste et toi on t'aime ?
(la vie) Car je suis un beau mensonge et toi, une triste réalité."
Heinrich Eichmmann
Feat. "Thomas Brodie-Sangster"
• Age / Date de Naissance → 11 ans (19/04/2014) • Sang → Officiellement Sang-mêlé, mais officieusement de sang inconnu • Spécialité/Don/Formation → Je suis entre deux mondes, je vois l'entre-voile, là où les morts ont élu domicile en attendant la lumière. Certains croient que mon don n'existe pas, que je suis un simple fou. Je n'ai que faire de leurs racontars, je suis le messager des morts pour les vivants et ainsi espérer que les esprits puissent rejoindre la lumière. • Emploi/Maison à Poudlard → Serdaigle • Baguette → ....
Physiquement
• À quoi je ressemble ? Je ne me regarde pas souvent dans un miroir, en tout pas plus que nécessaire. Je ne prends pas vraiment soin de moi, j'ai l'air négligé. Mes cheveux sont rarement bien coiffés, c'est un vrai chantier. Ils sont bruns poussant sur le blond. Je les ai courts, mais ils sont épais. J'ai vite laisser tombé d'essayer d'en faire quelque-chose. Mes yeux sont marron foncé, certains disent que j'ai les yeux noirs aussi foncé que la mort. Peut-être que je les ai de cette couleur parce que je suis aussi dans l'entre-voile ? Ou alors c'est complètement hors sujet ? Mon nez est de bonne corpulence, quoi que je le trouve un peu plus petit que les autres. On dirait que j'ai une bouche de fille, mais moi, je ne trouve pas. Mes dents sont en bon état, même s'il m'arrive d'oublier de me les laver car je suis trop occupé.
Je ne suis pas très grand, je ne suis pas frustrer à ce propos, il y a bien pire que ça dans la vie ! Ma peau est très claire, certains me disent que je peux facilement ressembler à un revenant. Cela me fait toujours rire même si la plupart ne comprennent pas pourquoi je rigole !
Ma démarche est souvent presser comme si j'ai toujours quelque chose d'urgent à faire. Ma voix est catégorisée d'aiguë. Ce n'est pas quelque chose que je me vante, mais je sais qu'au plus profond de moi je ne vais pas avoir de voix grave. Allez savoir pourquoi ! Ma main directionnelle est la gauche.
Je possède de fines cicatrices sur mon dos, témoignage d'un passé de maltraitance.
Mentalement
• Comment suis-je ? Les racontars disent que je suis bizarre, que je suis fou, que je devrais être enfermé à l'asile. Ils ont tous tors. Je ne suis pas fou. Je suis juste différent. Ma façon de penser n'est pas celle que possède la majorité des enfants de mon âge. Une pensée en entraîne une autre, sans jamais me laisser tranquille. Ma concentration me fait facilement défaut surtout quand le sujet ne m'intéresse pas. Dans le cas où cela m'intéresse, je vais dix fois plus vite que les autres. Mes passes-temps peuvent varier d'un jour à l'autre. Ma curiosité est immense, ainsi que sans fin. J'aime apprendre de nouvelles choses, mais encore faut-il que cela m'intéresse. Rester sur une chaise à juste écouter un prof monotone ne me stimule absolument pas. Je suis donc un élève difficile. Disons que je risque de déranger la classe en parlant avec les non-vivants.
Pour prendre une décision, je dois tout le temps peser le pour et le contre, je ne peux pas répondre sans y avoir réfléchi. Et des fois, j'ai besoin de m'isoler pour faire un choix d'une grande importance pour être seul avec mes pensées. Je suis une éponge à sentiment, je suis tellement empathique que cela me nuit plus que cela m'aide. À cause de cela, je rejette tout, me fermant comme une huître au monde des vivants. Ce qui me fait ressembler à être froid, qui même si je peux montrer mes sentiments, je ne me montre pas réceptif à ceux des autres. C'est la seule façon que j'ai pour ne pas être submergé par les sentiments des autres.
Quand je suis passionné dans quelque-chose comme un quelconque projet, je suis à fond dedans pouvant même ne pas dormir et me nourrir, rien ne pouvant me détourner de ce projet-là. Mais quand on me retire cela comme par exemple avec une note très négative. Voyant le résultat de mes recherches partir à la poubelle, cela me déçoit, me déçoit tellement que je peux jusqu'à rentrer en dépression.
Je suis multi-tâche, faisant plein de chose en même temps et je peux vite être débordé.
Histoire
• Le début de ma vie avait commencé en même temps que ma mort, à Munich en Allemagne. La faucheuse avait été pourtant là, à nous regarder, luttant pour la survie. De cet événement, ma mémoire ne pouvait seulement retranscrire ce que la faucheuse m'avait raconté, sans épargner le moindre détail, bien des années plus tard quand la camisole me retenait de force. Elle m'avait dit qu'il y avait eu un drame, que ma mère était à terre à bout de souffle, un homme au regard mauvais la surplombant. L'homme possédait une baguette magique, mais la faucheuse ne semblait pas savoir si ma génitrice était une sorcière. J'avais ensuite appris que ma mère s'était retrouvé dans une ambulance moldu, s'accrochant à la vie comme elle le pouvait. Elle s'était vite retrouver en salle d'accouchement. La faucheuse m'avait confié que sa présence lors de cet événement n'était pas pour ma mère, mais pour moi. En effet, à peine sortit de ce cocon, que j'avais perdu la vie. Elle me tenait même dans ses bras, prête à m'emmener à la lumière en priorité, mais j'avais disparu de ses bras au bout de cinq minutes, pleurant dans le monde des vivants. Les moldus ne m'avaient pas abandonné à la mort, ils m'avaient réanimés, ils m'avaient ramené tandis que ma mère avait disparu de la salle d'accouchement. Comme par... magie ? Peut-être croyait-elle que j'étais mort ?
Sans parents, orphelin, j'avais été placé dans un des trop nombreux orphelinats moldu de Munich. J'avais vite compris le manège cruel des potentiels parents qui choisissaient un enfant comme l'on pouvait choisir un produit sur une étagère, essayant de combler des critères particuliers. Pas trop ci, pas trop ça. Mon meilleur ami alors que j'avais tout juste deux ans était un garçon bien étrange, car personne ne semblait faire attention à lui, à part moi. Il était mort, mais ça, à cette époque, je ne le savais pas et je n'y prenais pas garde, ne voyant qu'un enfant qui aimait se maquiller en zombie.
Mes premiers parents avaient été madame et monsieur Dietrich vers mes trois ans. La première année s'était passé relativement bien, puis la femme avait trompée son mari avec le jardinier et tout avait volé en éclats. Le divorce n'avait que très peu tarder et je me suis retrouvé avec seulement monsieur Dietrich dans une autre maison qui était d'allure plus pauvre. L'homme avait tout de suite commencé à se défouler sur moi, me punissant de fautes que je n'avais pas commises.
J'avais pris connaissance durant l'année de mes quatre ans de mon don, comprenant en quoi cela consistait, aidé par les esprits qui peuplaient l'entre-voile, me nommant messager. Cela m'avait changé, puisque la mort était à présent comme une amie et non un ennemie à fuir. Les esprits étaient plus gentils que monsieur Dietrich, de ce fait parler avec eux me faisait évader de l'enfer du monde des vivants dans lequel j'étais enfermé. Certains m'apprenaient de nouvelles choses, comme lire et compter ou en rapport avec des sujets plus ou moins importants.
Vers mes six ans, ayant marre de moi et de mon comportement de fou, monsieur Dietrich m'avait placé en famille d'accueil. Alors, avait débuté un nouvel enfer. Malchanceux, j'avais atterri entre les mains d'un homme dangereux. Je ne savais pas comme réagir et je n'osais pas en parler aux vivants, je m'étais donc naturellement tourné vers les morts, écoutant leur conseil face à la situation. Une dame qui était animée d'une certaine colère avait carrément pété les plombs, venant chez ma famille d'accueil pour mettre sens dessus dessous la maison, terrifiant l'homme.
J'avais, ensuite fais, trois familles d'accueil avant de terminer chez les Eichmmann. Je n'étais pas tombé dans cette famille par hasard, non. C'était à cause de l'accident magique que j'avais produit dans la précédente famille. Faire exploser le gâteau d'anniversaire d'un membre de cette dernière n'était pas passer inaperçu. Et donc, c'était tout naturel, il me fallait une famille d'accueil avec au moins un sorcier, portant le nom de ce dernier. L'environnement n'était pas trop négatif, mais ce n'était pas non plus l'amour fou. Je me sentais toujours comme ne faisant pas partie de cette famille qui était déjà composé de trois enfants. D'ailleurs, les parents faisaient de grandes différences entre eux et moi.
Le changement de pays s'était fait vers mes huit ans, échangeant l'Allemagne contre l'Angleterre, troquant Munich contre Londres. Pourquoi ? Tout simplement, parce que monsieur Eichmmann avait eu le droit à un poste intéressant au ministère de la magie et que je devais suivre, comme les autres membres de la famille. Je m'étais bien habitué à ce changement, aimant apprendre une nouvelle langue. J'avais d'ailleurs eu aucune difficulté pour l'apprendre et ne possédant même pas d'accent.
Le seul hic, c'était les esprits. Trop content de trouver quelqu'un qui pouvait les voir, ils se succédaient les uns à la suite des autres dans l'espoir d'une aide. Je les aidais du mieux que je le pouvais, sauf un qui me faisait juste royalement chier. Un psychopathe moldu qui semblait croire que me crier dessus toutes les minutes était drôle. Il me poussait souvent à bout et je me mettais à l'insulter copieusement, ce qui lui plaisait, mais qui faisait peur aux vivants. La peur avait poussé madame Eichmmann à m'interner dans un hôpital psychiatrique moldu. On me forçait à prendre un traitement qui ne faisait, bien sûr, pas disparaître les non-vivants, mais qui me rendait complètement shooter. De plus, j'avais la visite des esprits de fou, ce qui était hautement perturbant, surtout quand l'un décidait de m'expliquer certaines choses concernant les femmes. Et c'était à vomir. Une immersion dans ce monde à l'âge de neuf ans n'était pas une expérience que j'avais voulue. Si j'avais été un jour innocent, là ce n'était plus le cas.
J'avais vécu ma première idylle amoureuse avec un esprit se nommant Wyatt. Un gamin d'environ mon âge qui hantait son bourreau. Au moins, j'avais des conversions un peu normales avec lui et il poussait souvent les esprits hors de ma chambre, me veillant la nuit pour me permettre de dormir. Et on s'était fait quelques baisers papillons maladroits, typiquement enfantin.
Aimer les garçons n'étaient pas un problème, étant donné que j'avais déjà eu ce genre de discussion, des années plus tôt, avec un adulte homosexuel refoulé qui s'était suicidé. J'avais appris de sa bouche, que refouler ce genre de chose par peur du regard des autres, ce n'était pas une bonne chose, bien sûr il avait dit ça accompagné d'un "on s'en b***** de ce qu'en pense les autres" et avait failli donner des détails sur les relations avant de rendre cela bisounours car je n'étais qu'un petit garçon de sept ans à cette époque.
J'avais été sorti de cette prison de blanc par monsieur Eichmmann, quelque temps avant mes dix ans. Il m'avait emmené à St. Mangouste, se rendant compte par je ne savais quel miracle, que je n'étais pas fou et j'avais besoin d'une aide magique. Wyatt ne m'avait pas rejoint, il avait accomplis ce qu'il avait toujours rêvé soit "tomber amoureux" et il avait pu enfin suivre la lumière. Cet abandon ne m'avait pas laissé de marbre. Après de nombreux tests magiques qui avaient duré de long mois, les médicomages avaient pu créer un objet magique pouvant me permettre d'avoir un peu de répit. Cela mettait en sourdine le monde des morts tant que je le portais et que je fermais les yeux. Je pouvais enfin être tranquille la nuit.
Onze ans avaient sonné la cloche du début de mes études magiques avec la fameuse lettre de Poudlard. J'étais à la fois emballé et apeurer. Certes, j'allais en apprendre des choses, mais il ne fallait pas oublier qu'il y avait des esprits partout et sûrement qu'un endroit comme Poudlard était très prisé !
A l'arrivée sur le forum
• Je débute ma première année à Poudlard. J'espère ne pas avoir d'ennui avec mes camarades, enfin pas sûr d'être très sociable avec ces derniers, après tout, je suis plus avec les morts que les vivants. Je ne me fais pas d'illusion quant à trouver un petit-copain, car rare sont ceux au courant de leur bord à l'âge d'onze ans.
Famille
• Mère adoptive : Madame Eichmmann (Jutta). Moldue. 45 ans. Avocate réputé pour défendre les personnes n'ayant pas beaucoup de revenu.
• Père adoptif : Monsieur Eichmmann (Klaus). Sorcier. 43 ans. Membre du magenmagot compétent.
• Soeur(s)/frère(s) adoptifs :
Ursel : Sorcier. 20 ans. Apprenti auror. Jördis : Sorcière. 17 ans. Dernière année à Poudlard. Wolfgang : Sorcier. 15 ans. Cinquième année à Poudlard.
• Lien familiaux avec personnes importantes :
Monsieur Dietrich (Erwan) : Moldu. 35 ans. Barman dans un pub. Divorcé. Actuellement en Allemagne.
Madame Dietrich (Elsa) : Moldue, 33 ans. Institutrice. Divorcé et en couple. Actuellement en Allemagne.
Rêves et ambitions
• Je ne sais pas vraiment ce que me réserve le futur, ni ce que je souhaite faire plus tard. Je sais que quoi que je fasse, je continuerais d'être le messager des morts.
Code de Lunatik ️
Mise en situation
• Qu'est-ce que tu as le plus hâte d'apprendre à Poudlard ? J'ai grand hâte d'apprendre à lancer des sortilèges, comme j'ai tout aussi hâte d'en apprendre plus sur les créatures magiques ou de faire des potions. Chaque matière attise pour l'instant ma curiosité, mais pour combien de temps ? Tout dépend du moment, de mon état d'esprit actuel, de comment est le professeur, du calme des non-vivants. J'ai envie d'en savoir plus sur la divination, de voir comment les sorciers peuvent communiquer avec les morts de façon plus difficile que moi.
• Un élève de ta maison a triché pendant les examens de Poudlard en se servant d'une plume ensorcelée. Grâce à son stratagème, il se retrouve premier de la classe en Sortilèges et tu n'es que deuxième. Le professeur soupçonne quelque chose de louche. Il te prend à part à la fin du cours pour te demander si ton camarade a utilisé ou non une plume interdite. Que fais-tu ? Je ne recherche pas à être premier de la classe, ce n'est pas si important que cela d'être en tête. Donc, je ne suis pas vexer de voir quelqu'un arriver en tête après avoir triché. Après tout cela ne sert à rien étant donné que je n'ai pas eu à tricher pour arriver là où je suis. Étant de même maison que le tricheur, je décide de nier les accusations du professeur, disant que non ce n'est pas lui qui a triché, j'oriente l'attention de l'adulte, de façon détourné, sur un élève d'une autre maison. Je ne fais pas cela pour une quelconque camaraderie, je sais juste que dénoncer un membre de ma maison est un risque d'avoir des retombés négatifs sur ma personne.
• Un Moldu t'aborde en pleine rue en te lançant qu'il est persuadé que tu es un sorcier ou une sorcière. Que fais-tu ? Les accusations du moldu ne me font ni chaud ni froid, je l'ignore tout simplement, retournant dans une discussion avec un non-vivant comme si de rien n'était. Un moldu peut m'accuser de bien des choses, de fou ou de sorcier, je sais qu'il ne faut pas y prendre garde. Habituer, cela me passe bien au-dessus de la tête.
• Un troll a fait irruption dans le bureau du directeur de Poudlard. Il est sur le point de pulvériser, écraser et déchirer plusieurs objets et trésors irremplaçables, dont notamment un remède contre la Dragoncelle que le directeur a pratiquement fini de mettre au point, les carnets scolaires de tous les élèves de Poudlard depuis 1 000 ans et un mystérieux livre écrit à la main, comportant d'étranges textes en runes, qui a très probablement appartenu à Merlin. Dans quel ordre tentes-tu de sauver ces objets de la massue du troll si tu en as la possibilité ? Je sauverais en premier les carnets scolaires des élèves tout simplement parce que ce sont des archives intéressantes sur les sorciers ayant fait leur scolarité au sein du château. Ensuite, cela serait le livre mystérieux, parce qu'à l'intérieur, l'on pourrait trouver des choses utiles. En dernier, je sauverais le remède contre la Dragoncelle, ce n'est pas, certes, un choix anodin, mais la mort n'est pas mon ennemie.
• Indique les quatre maisons par préférence. Cette dernière question n'influera que très peu le choixpeau, il est tout de même très têtu, mais dans la possibilité que tu te révèles choixpeauflou, ce sera utile ! Serdaigle, j'ignore si je serais le bienvenu là-bas étant donné ma façon d'apprendre qui varie et mon problème de concentration. Serpentard, je ne suis pas du genre à suivre comme un mouton les autres et je n'aime pas vraiment les règles, mais pourrais-je trouver ma place sans le côté noblesse ? Poufsouffle, j'aime la justice d'où pourquoi j'aide les non-vivants à trouver la paix, malheureusement, je n'aime pas vraiment le travail acharné. Gryffondor, je pense avoir assez prouvé mon courage avec un don comme le mien, mais je ne pense pas être de ceux à foncer dans le tas.
Sujet: Re: Heinrich Eichmmann (VALIDE) Dim 1 Avr 2018 - 18:49
Bienvenue sur WL !
Ta présentation est en ordre, je me fais donc un plaisir de te valider. Voici maintenant le moment tant attendu, la visite de notre cher Choixpeau afin qu'il te répartisse... A moins que tu n'y aie jamais été, et que l'âge d'y suivre des cours ne soit passé depuis longtemps ? Il faudra tout de même qu'il nous dise ta maison !
En attendant, je t'invite à passer chez Ollivander's, car ta baguette t'attends la-bas ! Si tu ne sais pas quel visage mettre sur ton nouveau personnage, la section Graphismes est faite pour toi. Concernant le reste, je t'invite à suivre la suite de notre Parchemin du nouveau membre qui t'indiquera pas à pas les étapes à franchir !